PRÉSENTATION

Les Entretiens du nouveau monde industriel 2024

La nouvelle écologie de l’industrie

Pour une bifurcation vers l’éco-technologie et les nouvelles localités industrielles

Partenariat : La fondation maison des sciences de l’homme, Institut Mine-Télécom – Business School, Institut pour la Recherche – Caisse des dépots, la revue Etudes Digitales et le programme européen NEST

18ème édition

18 et 19 décembre 2024

Petite Salle – Centre Pompidou

Le 12 mai 2023 en visite à Dunkerque, ville du Nord érigée par l’Élysée en symbole de sa politique de réindustrialisation tournée vers la transition écologique, Emmanuel Macron a confirmé l’implantation d’une usine de batteries du taïwanais Prologium (3000 emplois, investissement de 5,2 milliards d’euros) ainsi que la construction prochaine d’une usine de batteries électriques au lithium (1700 emplois, investissement de 1,5 milliard d’euros) fruit d’un partenariat entre le français Orano et la société chinoise XTC. Selon le vice-président de ProLogium1, ces projets de « gigafactorys » constituent un « véritable écosystème pour les batteries dans le nord de la France ».

A quelle « écologie » cet « écosystème » fait-il référence ? S’il procède bien d’une « planification écologique » s’appuie-t-il sur des dynamiques territoriales durables ou répond-il d’abord à un contexte géopolitique national et international ? Ne faut-il pas renoncer à la notion d’écosystème quand celle-ci n’a plus aucun des caractères anti-entropiques et historiques que l’on trouve dans le vivant ?

Dans le cadre de nos entretiens, pour mieux comprendre les enjeux et les tensions et proposer de nouvelles approches industrielles, nous partons de la richesse et de la diversité des « localités » qui produisent de nouveaux savoirs. Est-ce que les fablabs, les usines distribuées, les circuits courts, l’économie circulaire, les projets low-tech et les coopératives numériques peuvent contribuer à une dynamique d’innovation ascendante qui crée une « nouvelle écologie industrielle » ?

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Retrouvez les enregistrements

Vous retrouverez bientôt les enregistrements de cette édition sur le site iri-ressources.org.

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En live sur le site de l’IRI à cette adresse :

https://www.iri.centrepompidou.fr/pied/live/

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Programme

Programme provisoire

Session 1 : Transition ou bifurcation ? Regards croisés sur l’histoire et les politiques industrielles

Transition ou bifurcation ? Écosystèmes ou milieux ? Planification centralisée ou innovation ascendante ? Modèles physiques ou modèles biologiques ? Quels regards pouvons-nous porter sur l’histoire de l’industrie et des politiques industrielles et sur leurs fondements épistémologiques et sémiotiques pour dégager une nouvelle critique et une nouvelle fabrique de l’industrie ?

Mercredi 18 décembre – 10h00-12h30

Intervenants :

Pierre Veltz – ingénieur, sociologue et économiste – Bifurcations. Réinventer la société industrielle par l’écologie ?

Giuseppe Longo – mathématicien (ENS-Cnrs) – Le nouveau pythagorisme impératif, convergences épistémiques entre technosciences et industrie

Sophie Pène – sociolinguiste (Un. Paris Cité) et Antonella Tuffano – architecte-urbaniste, professeure de design (Paris 1-EHESS) – Ce qu’écosystème veut dire, dans la langue du « réarmement de l’économie »

Pierre Musso – philosophe (professeur honoraire à Telecom ParisTech) – La vision occidentale de l’industrie construite à coups de bifurcations

Session 2 : Production et reproduction : l’industrie et le vivant

Si l’industrie produit, le vivant se reproduit, mais cette différence n’est-elle pas mise à mal alors que l’agriculture est devenue industrielle et que se pose la question d’une écologie de l’industrie ? Qu’est-ce donc que produire de l’artisanat à l’industrie, et, en biologie, de l’autopoïse à la reproduction ? Plus encore, ne devons-nous pas repenser la question de la production alors que nos productions mettent à mal le vivant, y compris nous-mêmes ?

Mercredi 18 décembre – 14h00-16h30

Intervenants :

Marie-Claude Bossière – pédopsychiatre (IRI) – Produire chez l’enfant

Mael Montévil – mathématicien, philosophe de la biologie (Cnrs-ENS) – Qu’est-ce que produire ?

Shaj Mohan – philosophe

Sébastien Massart – (Dassault Systèmes) – (sous réserve)

Session 3 : Nouvelles Localités industrielles et production distribuée


Il s’agira dans cette session de donner à voir des exemples concrets de ces nouvelles localités industrielles parfois anciennes ou parfois totalement reconfigurées par le nouveau milieu technologique ou numérique. Quelles leçons peuvent se dégager de ces singularités ?

Mercredi 18 décembre – 17h00-19h00

Intervenants :

Olivier Landau – (IRI) – L’usine distribuée

Camille Etévé – responsable du programme Territoire d’industrie (Banque des Territoires) et Caroline Granier – docteure en sciences économiques, chargée de projet (La fabrique de l’industrie) – Les programmes d’investissement industriels

Maryline Filippi spécialiste des coopératives agricoles, développement territorial et responsabilité des entreprises (INRAE) – La Responsabilité Territoriale de l’Entreprise et les enjeux dans le monde agricole

Véronique Maire – designer (ESAD de Reims) – Intégration des designers pour tester la mise en réseau des acteurs de la filière bois autour d’outils numériques et de productions ciblées en circuit court avec une démarche d’éco-conception ?

Session 4 : Eco-technologie, techno-esthétique et communautés alternatives

Pour Gilbert Simondon, l’individu (et par extension l’objet technique) qui optimise le « rendement » de son rapport à son milieu fonde une « techno-esthétique » à tel point que nous devrions pouvoir distinguer, dans le monde industriel, les systèmes monstrueux ou infidèles à leur milieu, des systèmes optimisés dans leur concrétisation, c’est-à-dire aussi proches des systèmes biologiques. Comment cette approche que l’on peut qualifier d’« éco-technologique » peut-elle modifier nos démarches d’ingénierie et de design mais aussi les pratiques esthétiques elles-mêmes ? Comment les communautés alternatives et notamment dans le champ de l’écologie peuvent ainsi se réapproprier un discours sur l’industrie ?

Jeudi 19 décembre – 10h00-12h30

Intervenants :

Ludovic Duhem – philosophe (Haute École des Arts du Rhin à Strasbourg ) – L’éco-technologie à partir de Simondon

Laurence Allard – sémiologue (Un. Lille-IRCAV Un. Paris III) – Eco-production dans les médias alternatifs

Alexandre Monnin – philosophe (ESC Clermont) – Politiser le renoncement

Cy Lecerf Maulpoix – journaliste – Ecologies déviantes

Mathieu Triclot – philosophe (UTBM) – Produire en prenant soin des milieux.

Session 5 : Écologie et économie de l’industrie : la question de l’investissement

Même si les deux notions gagnent à être distinguées, industrie et économie vont de pair. Cette session s’interroge sur les nouvelles écologies/organologies des territoires et leur impact sur les dynamiques économiques durables. Elle tente aussi d’éclairer comment une écologie de l’industrie implique une nouvelle écologie de la monnaie.

Jeudi 19 décembre – 14h00-16h00

Intervenants :

David Djaïz – politologue (Sciences Po Paris) – La Révolution obligée

Jézabel Couppey-Soubeyran – économiste (Un. Paris 1 & Institut Veblen) – Transformer la monnaie pour rendre possible la bifurcation sociale-écologique

Franck Cormerais (IRI-Université Bordeaux Montaigne) – Ecologie et économie de la contribution, vers une solidarité organologique industrieuse

Session 6 : Gestion des données, communs numériques et rôle des standards dans la nouvelle écologie du numérique

Comment le numérique, souvent pointé du doigt pour son impact environnemental à l’heure du fort développement des IA génératives, peut-il dessiner de nouveaux écosystèmes à même de mieux se réapproprier son « contexte » local et global ? Comment les standards ouverts et notamment le logiciel libre peuvent-ils constituer des espaces de capacitation, d’autonomie, d’invention et d’industrie ?

Jeudi 19 décembre – 16h30-18h00

Intervenants :

Christophe Masutti (Framasoft) – La société de la contribution et le projet ContribUtopia

Pierre-Antoine Chardel – philosophe (IMT-BS) et Olaf Avenati – designer (ESAD Reims)

Anne Asensio – designer (Dassault Systèmes) – sous réserve

Table ronde 

Restitution des travaux de l’Association Epokhè sur le thème de l’IA et de l’industrie.
Avec la participation de X-Alternatives et Qarnot Coumputing

Jeudi 19 décembre – 18h00-19h00

Intervenants

Pierre Veltz

Pierre Veltz est un chercheur français, ingénieur, sociologue et économiste, spécialiste de l’organisation des entreprises et des dynamiques territoriales. Diplômé de l’École polytechnique et ingénieurs du Corps des Ponts (promotion 1969), Pierre Veltz est aussi titulaire d’un doctorat et d’une habilitation à diriger des recherches en sociologie. Il est l’auteur de nombreux ouvrages et articles scientifiques. Jeune diplômé, il a travaillé à la direction départementale de l’équipement du Nord, puis à la SCET, où il a mené des études dans les domaines de la planification urbaine. Durant les années 1980, il a dirigé la recherche scientifique à l’École nationale des ponts et chaussées (ENPC), en contribuant à la création d’une dizaine de laboratoires. Durant les années 90, il a créé et dirigé le LATTS, laboratoire pluridisciplinaire de sciences sociales s’intéressant notamment à la transformation des entreprises et des structures territoriales (ENPC, Université de Marne-la-Vallée, CNRS). De 1999 à fin 2003, il a été directeur de l’École Nationale des Ponts et Chaussées. Il a également présidé ParisTech, fédération des 11 principales écoles d’ingénieurs parisiennes, ayant vocation à se transformer en grande université technologique francilienne. Après avoir été directeur de l’Institut des Hautes Études de Développement et d’Aménagement des Territoires Européens1 entre 2004 et 2008, dont il préside le conseil scientifique, et après avoir dirigé la Mission d’aménagement de la région capitale au sein de Secrétariat d’État au développement de la Région Capitale, il est depuis mai 2009 délégué ministériel pour de développement du cluster du plateau de Saclay. Il est également membre du conseil d’administration de l’École normale supérieure depuis octobre 2007. il est membre de l’Académie des technologies et du Comité de prospective de l’Agence Nationale pour la Recherche (ANR). En octobre 2010, il a été nommé Président-Directeur Général du Conseil d’Administration de l’Etablissement Public de Paris-Saclay.

Giuseppe Longo

CNRS/ ENS

Giuseppe Longo est un spécialiste de logique mathématique et de l’épistémologie des mathématiques et de la biologie. Il a été d’abord professeur de Logique Mathématique puis d’Informatique à l’Université de Pise, ensuite, Directeur de Recherche CNRS aux départements de Mathématiques et d’Informatique de l’Ecole Normale Supérieure, puis au centre interdisciplinaire Cavaillès. Depuis une quinzaine d’années son oeuvre porte sur les relations entre Mathématiques et Sciences de la nature, dont en premier lieu la biologie évolutive et des organismes. Il a été adjunt professor, School of Medicine, Tufts University, Boston. Membre de l’Academia Europaea. Dans les années ’80, il a été post-doc à Berkeley et au MIT, professeur invité à Carnegie Mellon, à Oxford (GB) et Utrecht (NL), pour trois ans au total. Fondateur et rédacteur en chef de Mathematical Structures in Computer Science, Cambridge U.P. (1991-2015), il dirige une collection de livres chez Hermann, puis Spartacus IDH. Co-auteur des livres avec A. Asperti, Categories, Types and Structures. Category Theory for the working computer scientist. M.I.T. Press, 1991; avec F. Bailly, Mathematics and the natural sciences: The Physical Singularity of Life ; avec M. Montévil, Perspectives on Organisms: Biological Time, Symmetries and Singularities (Springer, Berlin, 2014). Avec A. Soto, il a édité From the century of the genome to the century of the organism: New theoretical approaches, Prog Biophys Mol Biol, 2016. Il a été responsable d’un projet à l’IEA de Nantes sur le concept de loi, en sciences humaines et de la nature (voir le volume chez Spartacus IDH avec ce titre). Son projet actuel développe une épistémologie des nouvelles interfaces explorant les corrélations historiques et des alternatives à la nouvelle alliance entre formalismes computationnels et gouvernance de l’homme et de la nature par les algorithmes et par des “méthodes d’optimalité” prétendument objectives. Son dernier ouvrage : Le cauchemar de Prométhée. Les sciences et leurs limites. Préface de Jean Lassègue, postface d’Alain Supiot. PUF, Paris, 2023.

Sophie Pène

Paris Cité

Professeure à l’Université Paris Descartes en sciences de l’information et de la communication, Sophie Pène est sociolinguiste, spécialiste des  pratiques numériques. Enseignante au CRI (Centre de Recherches Interdisciplinaires) , au sein du master AIRE, elle est responsable du thème  Education et Technologies (EdTech). Elle a la chance d’y accueillir des étudiants de 20 nationalités, engagés dans les expérimentations et les recherches sur l’apprentissage en milieu numérique. Ses cours portent sur les littératies numériques,  incluant les controverses éducatives, telles que les débats sur les données et les algorithmes, les compétences numériques en éducation, l’introduction d’intelligences artificielles dans l’apprentissage humain. Chercheure au laboratoire DICEN-IdF(CNAM), elle travaille dans le champ croisé de la recherche sur les pratiques numériques  et des processus d’apprentissage. Elle fait partie du conseil d’orientation de la Grande école du numérique, du Conseil pour les Générations Futures, du Conseil scientifique de l’Institut Mines Telecom. Ancienne auditrice de l’IHEST, elle participe à son Conseil d’enseignement. Elle a fait partie du conseil d’orientation de la Fabrique de l’industrie (2010-2016). Membre du Conseil National du numérique (2012-2015) puis vice présidente (2015-2017), avant d’en démissionner en juillet 2017, elle a travaillé sur les politiques publiques numériques, contribuant à de nombreuses rédactions d’avis et de rapports  pour le gouvernement. Elle est membre de l’Académie des technologies, dans la commission Education, et chevalière de la Légion d’honneur.

Pierre Musso, philosophe

Telecom ParisTech

Philosophe de formation, Pierre Musso est professeur émérite de sciences de l’information et de la communication à l’Université de Rennes II et à l’École Télécom Paris Tech. Il a été titulaire de la chaire ‘Modélisations des imaginaires, innovation et création’ qu’il avait créée entre ces deux institutions académiques et quatre partenaires industriels mondiaux, Dassault Systèmes, PSA Peugeot-Citroën, Orange et Ubisoft. Il est membre du Centre interdisciplinaire d’analyse des processus humains et sociaux de l’Université Rennes II et membre associé du Laboratoire UMR CNRS 5611 « Littérature, Idéologies, Représentations, XVIIIe-XIXe siècles » à Lyon. Avant d’entrer à l’Université, il a participé ou dirigé des services d’études, de recherches et de prospective dans le secteur des télécommunications notamment au Centre national d’études des télécommunications (CNET), à l’Institut national de l’audiovisuel (INA) et à la Division de l’aménagement du territoire (DATAR).  Il a été membre du premier Conseil d’administration de France Télécom. Il a longtemps enseigné au Département de sciences politiques de l’Université Paris Sorbonne où il a soutenu sa thèse d’État sur le « fonctionnement symbolique des télécommunications et la philosophie saint-simonienne ». Il est l’auteur de nombreux ouvrages sur la communication, les territoires, le saint-simonisme, les réseaux et les médias. Il a co-dirigé l’édition critique des Œuvres complètes d’Henri Saint-Simon parue en 2013 aux PUF, dans la collection Quadrige. En avril 2017, il a publié La Religion industrielle chez Fayard dans la collection IEA “Poids et mesure du monde”. Enfin, vient de paraître aux éditions Manucius L’Entreprise contre l’État, ouvrage produit sous sa direction à l’issue de séminaires organisés sur ce thème à l’IEA.

Marie-Claude Bossière

IRI

Marie-Claude Bossière, pédopsychiatre praticien hospitalier, milite pour une information concernant les effets des écrans sur le développement des jeunes enfants avec le collectif CoSE (Collectif Surexposition Ecrans). Elle participe à la recherche de clinique contributive initiée par Bernard Stiegler, à St Denis. Sa dernière publication, « Le bébé au temps du numérique », aux éditions Hermann, explore la notion de disruption relationnelle, en lien avec les théories du développement psychologique, moteur et affectif de l’enfant, et la dimension essentielle d’interaction évolutive de l’enfant avec son milieu.

Maël Montévil

CNRS/ ENS

Maël Montévil est chargé de recherche au CNRS, à la République des savoirs, UAR 3608, École Normale Supérieure. Il est biologiste théoricien travaillant au carrefour de la biologie expérimentale, des mathématiques et de la philosophie. Il a développé le cadre de la clôture entre contraintes et travaillé sur l’historicité biologique et ses implications pour la théorie et la modélisation. Ses travaux portent aussi sur des problématiques actuelles telles que les perturbateurs endocriniens et, plus généralement, les disruptions du vivant dans l’Anthropocène et nos réponses à celles-ci, notament dans le cadre de ses travaux inités avec Bernard Stiegler. Maël Montévil est l’auteur de plus de trentes articles dans des revues internationales et d’une monographie avec Giuseppe Longo : Perspectives on Organisms.

Shaj Mohan

Shaj Mohan est un philosophe indien. Ses recherches et publications portent sur la philosophie de la technologie, la métaphysique, la raison, la politique et la véracité. Il est le co-auteur avec Divya Dwivedi de Gandhi et la philosophie : On Theological Anti-Politics (Bloomsbury UK, 2019), préfacé par Jean-Luc Nancy. Un entretien avec Mohan dans Mediapart illustre comment l’hindouisme s’est fabriqué sur fond de nationalisme à l’époque coloniale en opposition aux autres religions du « sous-continent » et comment les études postcoloniales sont aujourd’hui « enrôlées par le parti au pouvoir pour valoriser la reconstitution fantasmée d’une Inde précoloniale pure et purifiée ». Shaj Mohan dénonce notamment le fait qu’à l’heure où « les viols occupent le devant de la scène politique indienne, celles et ceux qui contestent la misogynie, les discriminations religieuses ou les inégalités de caste sont renvoyés par les nationalistes hindous à leur prétendue occidentalisation ». Shaj Mohan a publié de nombreux articles contre le nationalisme hindou dans les médias français dont Le MondeLibérationLa Croix. Selon Le Monde, Mohan fait face à des menaces de décapitation de la part d’extrémistes Hindous.

Sébastien Massart (sous réserve)

Dassault Systèmes

Sébastien Massart est directeur de la stratégie de Dassault Systèmes, entreprise scientifique qui se définit par la conviction que les univers virtuels étendent et améliorent le monde réel. Il commence sa carrière dans les services déconcentrés du ministère de l’Economie, puis rejoint l’Autorité des Marchés financiers. Il y pilote la définition d’un nouveau plan stratégique intitulé « Redonner du sens à la finance » et prend part aux négociations européennes sur la régulation des marchés d’instruments dérivés. Il contribue ensuite, au sein de l’Agence des Participations de l’Etat, au rapprochement franco-allemand entre KMW et Nexter, avant de servir au sein du cabinet du ministre de la Défense en tant que conseiller technique « industrie ». Il devient ensuite conseiller industriel auprès du Président de la République. Polytechnicien, ingénieur des mines, Sébastien Massart est également diplômé en philosophie de l’Ecole Normale Supérieure et enseigne à SciencesPo Paris sur « L’Etat actionnaire et les entreprises publiques ». Sébastien Massart est actuellement co-président de la Filière Santé numérique. Il a également été vice-président de l’association Tech’In France et est membre actif de l’Alliance Industrie du Futur. Il publie régulièrement des articles sur l’innovation et les univers virtuels, dont récemment : « Du réseau à la métamorphose » (La Renaissance Industrielle, Manucius, 2022), « Nouveaux possibles, nouvelle économie, nouvelles responsabilités » dans la revue Sociétal (juillet 2021), « Shaping the Unknown with Virtual Universes – the New Fuel for Innovation » (Global Innovation Index Report, 2020).

Olivier Landau

IRI

Olivier Landau est Président de l’IRI (Institut de Recherche et d’Innovation, IRI) et membre du Conseil d’administration d’Ars Industrialis, après avoir été Directeur Délégué à la Stratégie et l’Anticipation de SATM (Direction des Services Avancés pour les Télécom et les Médias de Sofrecom – Groupe Orange). Il travaille depuis 1993 sur l’impact des technologies numériques en ce qui concerne l’accès aux contenus, en particulier dans le domaine des médias. L’universalité du numérique l’a amené à élargir son champ d’intérêts à l’ensemble des services bousculés par la société de l’information. Depuis plusieurs années, il s’intéresse avec Bernard Stiegler, à l’automatisation généralisée de « l’industrie » et aux conséquences sur la société, en particulier en ce qui concerne l’emploi et le travail. Olivier Landau a été producteur et réalisateur de nombreux programmes de TV, documentaires et fictions. Il a été le fondateur en 1986 de TV 5 Mondes, seconde chaîne thématique pour les réseaux câblés en France.

Camille Etévé

Banque des Territoires

à venir

Caroline Granier

La Fabrique de l’industrie

Caroline Granier est docteure en Sciences Économiques et Cheffe de projet à La Fabrique de l’industrie. Ses recherches portent sur les dynamiques territoriales, la gouvernance d’entreprise et l’industrie du futur. Elle fait partie de l’équipe coordinatrice des activités de l’observatoire des Territoires d’industrie.

Maryline Filippi

INRAE

Maryline Filippi est professeure d’économie à Bordeaux Sciences Agro et chercheuse associée à l’INRAE UMR SAD-APT, AgroParisTech, Paris-Saclay. Ses problématiques de recherche se consacrent aux processus de développement territorial et d’innovation, à la responsabilité sociale et territoriale des entreprises et les coopératives agricoles. Elle est rédactrice en chef de la Revue internationale de l’économie sociale (RECMA). Elle a été personnalité qualifiée au Haut Conseil de la Coopération Agricole (HCCA) (2015-2022) et présidente de la commission française de l’AFNOR pour la norme ISO 26030 RSE appliquée à la chaîne alimentaire (2017-2020). Elle est membre des conseils scientifiques de l’Alliance coopérative internationale sur la recherche coopérative (ICA CCR Europe et Monde), membre du comité directeur du CIRIEC-France et de son conseil scientifique et membre du conseil scientifique de l’ADEME.

Ludovic Duhem

Université Lille 3

Ludovic Duhem est docteur en philosophie et histoire des sciences et techniques, chercheur associé au laboratoire UMR 8163 STL (Savoir, Textes, Langages) de l’Université de Lille3. Il est chargé de recherche à l’École Supérieure d’Art et de Design de Valenciennes et d’Orléans où il enseigne la philosophie de l’art et du design. Ses recherches portent sur les rapports entre esthétique, technique et politique, qu’il développe dans une théorie intitulée Techno-esthétique. Spécialiste de l’œuvre de Gilbert Simondon, il est l’auteur de Simondon et l’esthétique (à paraître en 2013) et d’une dizaine d’articles dont “Poétique et politique du lien. Art et réseaux sociaux numériques”, in Le social est-il soluble dans le web ?, Paris, Hermès, 2013 ; “Le milieu technique de l’art”, in Eurêka 2. Technique et création, Paris, L’Harmattan, 2012 ; “Introduction à la techno-esthétique”, in Archée, Montréal, Canada, 2010 ; “La tâche aveugle et le point neutre. Note sur le double faux départ de l’esthétique chez Simondon”, in Cahiers Simondon n°1, Paris, L’Harmattan, 2009. Parallèlement, Ludovic Duhem est artiste plasticien. Son travail entre peinture, sculpture et installation multimédia est régulièrement exposé en France et en Belgique. Expositions récentes : “Aîtres de peau”, Église saint-Merri, Paris, 2013 ; “Noli me tangere”, Nuit Blanche, Crypte du Martyrium saint-Denis, Paris, 2011 ; “Chemins d’onde”, BRASS, Bruxelles, 2010.

Laurence Allard

Université de Lille/Ircav-Sorbonne Nouvelle

Laurence Allard est maîtresse de conférences en sciences de la communication, Université de Lille/Ircav-Sorbonne Nouvelle. Elle analyse les usages expressifs et citoyens des technologies numériques depuis de nombreuses années. Elle a publié Mythologie du portable (Cavalier Bleu, 2010). Elle est aussi la co-traductrice avec Delphine Gardey et Nathalie Magnan de Donna Haraway, Manifeste cyborg et autres essais. Sciences, Fictions, Féminismes (Exils, 2007). Elle s’intéresse actuellement à une « écologie de la communication dans le sillage notamment de l’association qu’elle a co-fondé Labo Citoyen/Citoyens Capteurs ou encore de ses dernières co-publications, dont Sciences du design n°11. Anthropocène et Effondrement (PUF, 2019) avec Alexandre Monnin. Elle est enfin experte à l’ANSES dans différents groupes de travail.

Alexandre Monnin

ESC Clermont

Alexandre Monnin est philosophe, enseignant et auteur. Il est directeur scientifique d’Origens Media Lab, cofondateur de l’initiative Closing Worlds et enseignant-chercheur en école de management (ESC Clermont BS). Il dirige le Master of Science “Strategy & Design for the Anthropocene”, porté conjointement avec Strate École de Design à Lyon. Avant cela, il a été chercheur chez Inria Sophia Antipolis (2014-2017), fellow à l’IKKM (Université du Bauhaus, 2013) et responsable recherche Web à l’Institut de Recherche et d’Innovation du Centre Pompidou (2010-2013). Docteur en philosophie de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, sa thèse a porté sur la philosophie et l’architecture du Web (2013). Il est l’un des co-auteurs du rapport intitulé “Pour une sobriété numérique” publié par le Shift Project en 2018. Avec Diego Landivar et Emmanuel Bonnet, il a publié “Héritage et Fermeture” (Éditions Divergences, 2021), et “Politiser le Renoncement” (Éditions Divergences, 2023), et édité “Écologies du Smartphone” avec Laurence Allard et Nicolas Nova (Bord de l’eau, 2022).

Cy Lecerf Maulpoix

Né en 1990, Cy Lecerf Maulpoix a fait partie de collectifs LGBTQI et de justice climatique en France depuis la COP21. En tant que journaliste et chercheur indépendant, il a écrit sur les luttes sociales, les migrations, la culture queer et la littérature à travers des entretiens, des enquêtes publiés dans la presse généraliste et spécialisée française. Il est également l’auteur de Écologies déviantes (Cambourakis 2021) et Edward Carpenter et l’autre nature (Le Passager Clandestin 2022). Il poursuit plusieurs projets d’écriture et de traduction sur les mouvements de libération sexuelle, l’écologie, le militantisme sanitaire et la technocritique.

Mathieu Triclot

UTMB

Mathieu Triclot est maître de conférences en philosophie à l’Université de Technologie de Belfort-Montbéliard, membre de l’Institut FEMTO-ST/RECITS. Ses recherches, en philosophie des techniques, portent sur la cybernétique, la notion d’information, les paradigmes de la computer science et les jeux vidéo. Il est l’auteur du Moment Cybernétique et de Philosophie des jeux vidéo.

David Djaïz

Sciences Po Paris

David Djaïz est né en 1990 à Agen. Il a grandi entre le Sud-Ouest et le Maroc, où il a passé 6 ans entre 1999 et 2005. Ancien élève de l’École normale supérieure de la rue d’Ulm (première place au concours d’admission en 2010), et de l’École Nationale d’Administration (promotion George-Orwell, 2015-2016), David Djaïz est aussi titulaire d’un master 2 de philosophie politique de la Sorbonne où il a conduit des recherches sur la genèse de la théorie politique moderne. Inspecteur des finances de 2017 à 2020, il a été en 2020 et 2021 directeur de la stratégie et de la formation de l’Agence Nationale de la Cohésion des Territoires. Il est aussi enseignant à l’Institut d’études politiques de Paris. En 2018 il est membre du jury du prix Wepler. David Djaïz est également essayiste. Après La guerre civile n’aura pas lieu (Cerf, 2017), il est l’auteur, en 2019, du très remarqué Slow Démocratie. Comment maîtriser la mondialisation et reprendre notre destin en main (Allary Éditions, 2019) qui lui a valu le prix étudiant du livre politique LCP 2020 et le prix Édouard Bonnefous de l’Académie des sciences morales et politiques 2020 et de Le Nouveau modèle français paru en 2021 (Allary Éditions). Son dernier essai, La Révolution obligée, co-écrit avec Xavier Desjardins, est paru en 2024. Chroniqueur, David Djaïz intervient régulièrement dans le podcast Le Nouvel Esprit public, présenté par Philippe Meyer et dans les revues Le 1 et Zadig d’Éric Fottorino.

Jézabel Couppey-Soubeyran

Université Paris 1, Institut Veblen

Jézabel Couppey-Soubeyran est maîtresse de conférences à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Elle enseigne l’économie monétaire et financière et dirige une formation de 3ème cycle dédiée au contrôle des risques bancaires. Ses travaux portent sur les banques, la régulation financière, les politiques monétaire, micro- et macro- prudentielles, le financement de l’économie et de la transition écologique. Elle a exercé plusieurs missions de conseil scientifique pour l’Encyclopaedia Universalis, le Conseil d’Analyse économique, et le CEPII et depuis septembre 2020 pour l’Institut Veblen. Autrice de plusieurs ouvrages d’économie académiques et grand public, elle a notamment publié L’économie pour toutes avec Marianne Rubinstein (Ed. La Découverte, mai 2014, prix Lycéen Lire l’économie 2014), Blablabanque. Le Discours de l’inaction (Ed. Michalon, sept. 2015), Parlons banque en 30 questions avec Christophe Nijdam (Ed. La Documentation française, 2ème édition 2018) et une bande dessinée jeunesse « L’économie en BD » illustrée par Auriane Bui (Ed. Casterman, août 2020). Elle co-dirige chaque année L’économie mondiale (Ed. La Découverte & CEPII) et tient également une chronique mensuelle dans le Monde.

Franck Cormerais

Université Bordeaux-Montaigne

Professeur en sciences de l’information et de la communication à l’Université de Bordeaux-Montaigne. Responsable de l’axe Études digitales : des donnés aux dispositifs (E3D) au sein du laboratoire MICA. Co-directeur de la Revue Études Digitales publiée chez Classiques Garnier. Ses recherches portent sur l’anthropologie des technologies contemporaines et sur l’usage des TIC en milieu urbain. Son programme comporte deux axes. Le premier est lié à l’établissement de nouvelles pratiques éditoriales en ligne. Le second s’intéresse à l’industrialisation contemporaine du langage et de la culture, et plus aux généralement aux processus d’innovation et de valorisation dans le cadre d’une économie de la contribution.

Pierre-Antoine Chardel

Institut Mines Telecom-BS

Pierre-Antoine Chardel est philosophe de formation et sociologue, enseignant-chercheur, conférencier, spécialiste des enjeux éthico-politiques du numérique et de l’hypermodernité. Docteur en philosophie et sciences sociales de l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS), titulaire d’un PhD de l’Université Laval (Canada), habilité à diriger des recherches en sciences sociales de l’Université Paris Descartes (Faculté des SHS), il est qualifié par le Conseil National des Universités (CNU) aux fonctions de Professeur des Universités en « Philosophie » (section 17), « Sociologie » (section 19) ainsi qu’en « Epistémologie. Histoire des sciences et des techniques » (section 72). Professeur des universités à l’école de management de l’Institut Mines-Télécom (IMT-BS), enseignant à Télécom SudParis – Institut Polytechnique de Paris, il est chercheur statutaire au Laboratoire d’Anthropologie Politique (UMR 8177 CNRS / EHESS) et chercheur associé au LITEM (Université Paris Saclay ), ancien chercheur invité au MédiaLab de Sciences Po- Paris et membre du Conseil scientifique et de la recherche de l’Ecole Supérieure d’Art et de Design (ESAD) de Reims. Il enseigne également à l’Université Paris Saclay dans le cadre du séminaire doctoral « Ethique en recherche ». De 2011 à 2019, il a  enseigné à l’Université de Paris au sein du Master « Sociétés contemporaines : enjeux politiques, éthiques et sociaux » (Faculté des SHS – Sorbonne). Depuis octobre 2017, il co-dirige avec Valérie Charolles un séminaire à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS) intitulé « Socio-philosophie du temps présent. Enjeux épistémologiques, méthodologiques et critiques » intégré à la formation « Philosophie contemporaine » (ENS Ulm / PSL). Coordinateur du LASCO IdeaLab de l’IMT, membre du conseil scientifique de l’Atelier d’Etudes Critiques, il a été membre du comité de prospective du Comité 21. Egalement co-fondateur de la Chaire de recherche Valeurs et politiques des informations personnelles de l’IMT, il a été membre de la Commission de réflexion sur l’éthique de la recherche en sciences et technologies du numérique d’Allistène (CERNA). Il collabore régulièrement avec l’équipe « Réseaux, Savoirs, Territoires » à l’ENS, rue d’Ulm.

Olaf Avenati

ESAD Reims

Designer graphique & numérique à Paris, Olaf Avenati est diplômé de l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris en communication visuelle & multimédia (1998). Lauréat du prix Mobius international en 2000 (prix spécial du jury) pour le cédérom Au Cœur de Bahia, il participe à l’atelier Tout pour plaire de 1998 à 2013 et développe sa propre activité de graphiste indépendant depuis 2013. Il conçoit des objets d’édition papier et électronique, dans les domaines culturel, associatif et institutionnel : sites internet, applications mobiles, bornes interactives, livres, affiches, illustrations, brochures, identités visuelles, signalétiques et parcours culturels. Il est membre associé du Cluster d’excellence Matters of Activity. Image, Space, Material, de l’université Humboldt de Berlin. Il y conduit un projet de recherche sur le modèle visuel du cerveau humain – Brain Roads – en collaboration interdisciplinaire avec des chercheurs en neuroscience, des neurochirurgiens, et des chercheurs en sciences humaines. À l’Esad, il enseigne principalement en 2e cycle. Avec Laurent Mészáros, Il a co-coordonné le Master en design graphique et numérique et accompagné les étudiants au diplôme de DNSEP jusqu’en 2023. Il développe la co-formation post-diplôme Innovation, Design et Entrepreneuriat Engagé [IDEE] avec deux écoles partenaires : Institut Mines Télécom Business School et Télécom SudParis – Institut Polytechnique de Paris. Il co-anime le séminaire de recherche conjoint Esad / IMT : Formes, Technologies, Société. Il conduit le programme de Datavisualisation et a co-dirigé l’ouvrage collectif Datalogie avec Pierre-Antoine Chardel, paru en 2016 aux éditions Loco, et l’ouvrage Corps Connectés. figures, fragments, discours avec Armen Katchatourov, Pierre-Antoine Chardel et Isabelle Queval, paru en 2022 aux Presses des Mines. olaf.avenati.net

Christophe Masutti

Framasoft


Christophe Masutti est docteur en histoire et philosophie des sciences et des techniques, hacktiviste, membre administrateur de l’association Framasoft et traducteur de la biographie autorisée de Richard Stallman, publiée aux éditions Eyrolles en partenariat avec Framasoft. Il travaille au CHU de Strasbourg à la Direction de la Coopération Internationale et il est chercheur associé au laboratoire SAGE (Sociétés, Acteurs et Gouvernements en Europe) de l’Université de Strasbourg. Avec Camille Paloques-Berges, il a coordonné l’ouvrage Histoires et cultures du Libre aux éditions Framabook. Il a plus récemment écrit l’ouvrage Affaires privées : aux sources du capitalisme de surveillance où il évoque la place prise par l’informatique et les données dans nos sociétés actuelles en tant que leviers d’une surveillance intimement reliée aux mécanismes capitalistiques. À partir de ces constats, il dessine une réflexion sur le développement d’une économie numérique respectueuse de la vie privée de chacun.

Valérie Peugeot (sous réserve)

CNIL

Valérie PEUGEOT est chercheuse en digital studies au sein du laboratoire de sciences sociales et humaines d’Orange, où elle travaille sur des sujets de recherche comme l’économie collaborative, le numérique comme outil de transformation des modes de vie, la place des données personnelles dans l’économie du web etc. Elle préside l’association Vecam qui depuis 20 ans déchiffre les enjeux sociétaux liés au numérique et promeut les communs de la connaissance. Après avoir été de 2013 à 2015 vice-présidente du Conseil National du Numérique, elle a rejoint la CNIL, Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés en Avril 2016, où elle est en charge des questions de santé.

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Éditions précédentes

2023 : Jeux, gestes et savoirs

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2022 : Organisation du Vivant, Organologie des Savoirs

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2021 : LA SOCIÉTÉ INTERMITTENTE : LA VIE DANS LE (NÉGU)ANTHROPOCÈNE

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2020 : PRENDRE SOIN DE L’INFORMATIQUE ET DES GÉNÉRATIONS

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2019 : INTERNATIONAL, INTERNATION, NATIONS, TRANSITIONS : PENSER LES LOCALITÉS DANS LA MONDIALISATION

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2018 : L’INTELLIGENCE DES VILLES ET LA NOUVELLE RÉVOLUTION URBAINE.

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2017 : BÊTISE ET INTELLIGENCE ARTIFICIELLES.

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2016 : PENSER L’EXOSOMATISATION POUR DEFENDRE LA SOCIETE.

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2015 : LA TOILE QUE NOUS VOULONS : du web sémantique au web herméneutique.

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2014 : LA “VÉRITÉ” DU NUMÉRIQUE

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2013 : LE NOUVEL ÂGE DE L’AUTOMATISATION

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2012 : Digital Studies, organologie des savoirs et technologies industrielles de la connaissance.

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