Programme
Jour 1 – 1ère partie
Bernard Stiegler, Jean Lassègue (vidéo), Guiseppe Longo, Yuk Hui (vidéo), discussion (vidéo)
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Jour 1 – 2ème partie
Dominique Cardon, Noel Fitzpatrick, Franck Cormerais (vidéo), discussion (vidéo)
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Jour 2 – 1ère partie
Vincent Minier, Bruno Bachimont (vidéo), Yannick Prié (vidéo), discussion (vidéo)
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Jour 2 – 2ème partie
Antoinette Rouvroy (vidéo), Mauro Carbone (vidéo), Gerald Moore (vidéo)
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Jour 3 – 1ère partie
Anne Alombert (vidéo), Jean-Pierre Girard (vidéo), Lionel Larqué (vidéo), discussion (vidéo)
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Jour 3 – 2ème partie
Ishida Hidetaka, Jérome Valluy (vidéo), Denis Peschanski (vidéo), discussion (vidéo)
Argumentaire
Un séminaire préparatoire s’est tenu du 30 juin au 2 juillet à Télécom ParisTech. Il s’agissait d’appréhender d’un point de vue épistémologique les conséquences de la numérisation dans un champ disciplinaire ou heuristique donné.
Chaque intervenant était invité à faire des recommandations en matière de transformations institutionnelles de la recherche et de l’enseignement en rapport avec le sujet de sa communication (en matière de priorités dans les programmes de recherche, d’évolution des instruments scientifiques, d’organisation des écoles doctorales, d’évolution des pratiques heuristiques et didactiques, des instruments de publication et d’évaluation, etc.).
Le but du colloque était à la fois de faire une sorte de panorama de grandes questions épistémologiques qui se posent dans le contexte de ce que nous avons cru pouvoir appeler l’épistémè numérique, et de recommander des évolutions à la puissance publique et à l’institution académique dans son ensemble qui soient pleinement inscrites dans une perspective privilégiant fondamentalement le développement et la transmission des savoirs – et non seulement de compétences nouvelles par ailleurs indispensables.